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pour la médecine interne générale à l'hôpital et au cabinet médical.
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Zona et vaccination contre le zona

Lea Pajarola *, Sarah Gruson *, Bernhard Wingeier, et al.
Publié le 01.11.2023
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Environ 10 à 30% d’entre nous connaîtront un zona au cours de leur vie – surtout à partir de 50 ans, parfois même avant. Depuis 2021, l’OFSP recommande le vaccin inactivé Shingrix® à toutes les personnes à partir de 65 ans – et à partir de 50 ans en cas d’immunodéficience (indépendamment du fait que on ait déjà eu un zona ou le vaccin vivant atténué Zostavax®). Le Shingrix® est nettement plus efficace que le Zostavax®, même chez les personnes âgées et immunodéprimées: environ 70–85% efficace pour prévenir le zona et 75% pour prévenir la névralgie post-zostérienne. Le Shingrix® est donc un bon vaccin, mais pas une solution miracle. Actuellement on ne sait pas encore si des rappels de vaccination sont nécessaires.
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«Chez une dame âgée, une masse mobile provoquant une gêne subjective a été observée au niveau de l’espace interdigital. L’échographie a montré une structure kystique contenant une substance, qui a été ponctionnée à l’aide d’une seringue. La seringue avec son contenu a été remise à l’assistante médicale dans une période plutôt agitée, en la priant textuellement de demander un examen histologique au laboratoire externe. Le système patient indiquait désormais «histologie envoyée». En réalité, un examen microbiologique a été demandé. Celui-ci a révélé une croissance de Cutibacterium acnes. Résultat: Malgré le classement des résultats par le

médecin et l’assistante médicale (trois fois en tout) et le fait que l’agenda stipule jusqu’à présent que le rapport histologique est disponible, il est impossible de dire à la patiente de quoi il s’agit. Conséquence: «Il faut enseigner la différence entre l’histologie et la microbiologie».

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8 ½, 8,7 et 9 ¾

Editorial

Les chiffres nous accompagnent tout au long de la vie. Au début, il y a la date de naissance, avec le poids et la taille (qui changent plus tard, pas toujours pour notre plus grand plaisir). Ensuite, nous sommes évalués avec des chiffres, avec les notes à l’école, avec les points à l’université. Nous recevons un salaire, qui est aussi un chiffre. Et notre numéro AVS nous accompagne toute notre vie. Les chiffres ont différentes significations dans notre vie et dans notre société.

Simona C. Däpp, et al.
Publié le 01.11.2023
Simona C. Däpp
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Lors d’un contrôle de laboratoire en raison de glomérulonéphrites récidivantes, un patient, alors âgé de 36 ans, a présenté pour la première fois une dyslipidémie avec un cholestérol total de 6,6 mmol/l, un cholestérol à lipoprotéines de basse densité (C-LDL) de 4,5 mmol/l, un cholestérol à lipoprotéines de haute densité (C-HDL) de 0,78 mmol/l et des triglycérides de 2,7 mmol/l (fig. 1). La fonction rénale, la glycémie ainsi que les paramètres hépatiques, thyroïdiens et cholestatiques étaient dans la norme. Le patient a indiqué qu’il ne fumait pas, qu'il consommait rarement de l’alcool et qu’il faisait régulièrement de l’exercice. Il prenait du carvédilol, du valsartan, de l’amlodipine et de l’hydrochlorothiazide en raison d’une hypertension artérielle. L’anamnèse familiale était sans particularité en ce qui concerne les évènements cardiovasculaires. Des stigmates d’hypercholestérolémie familiale, tels que xanthomes tendineux ou arcs cornéens, n'étaient pas présents. Il a été recommandé au patient d'adapter son alimentation, et aucun traitement médicamenteux n'a été initié dans un premier temps. Lors de contrôles ultérieurs des valeurs lipidiques, un C-LDL de 5,6 mmol/l au maximum a été constaté. À 42 ans, le patient a commencé un traitement par fluvastatine, qu'il a bien toléré pendant de nombreuses années. En raison d'une réduction insuffisante du C-LDL, le traitement hypolipémiant a été remplacé par l'atorvastatine à l’âge de 55 ans.

Eva Meier, et al.
Publié le 01.11.2023
Eva Meier
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Voici une création littéraire illustrée de

deux étudiantes de Lausanne, l’une en 3ème année de médecine et l’autre en 2ème année de soins infirmiers, proposée comme travail final d’un cours à option interprofessionnel explorant les différents rôles d’un.e soignant.e à l’aide d’expressions artistiques (littérature, dessin, musique, théâtre, cinéma)…

Le 7e Congrès d’automne de la SSMIG des 21 et 22 septembre 2023 au Zurich Convention Center appartient déjà au passé. Il reste gravé dans notre mémoire comme un lieu de rencontre et de transfert de savoir. À l’issue de 10 mois de préparation, 100 oratrices et orateurs ont partagé leurs connaissances avec près de 1000 visiteuses et visiteurs.

Rosana Garcia Cardoso, et al.
Publié le 01.11.2023
Rosana Garcia Cardoso
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L’endométriose, maladie chronique touchant 10 à 15% des femmes en âge de procréer [1], est une pathologie caractérisée par des dépôts de tissu endométrial s’implantant en dehors de

la cavité utérine. Les douleurs chroniques associées à cette maladie impactent les sphères sociale, professionnelle, sentimentale et économique de la femme. L’endométriose est

également la première cause d’infertilité dans les pays occidentaux: 40% des femmes atteintes sont infertiles [2].

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Édition 2023/11
De 01.11.2023
Volume: 23
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Édition 2023/10
De 04.10.2023
Volume: 23
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Édition 2023/09
De 06.09.2023
Volume: 23
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Édition 2023/08
De 02.08.2023
Volume: 23
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Édition 2023/07
De 05.07.2023
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Édition 2023/06
De 07.06.2023
Volume: 23
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Édition 2023/06
De 07.06.2023
Volume: 23
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Édition 2023/05
De 03.05.2023
Volume: 23
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Édition 2023/04
De 05.04.2023
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Édition 2023/03
De 08.03.2023
Volume: 23